Suspens
Avec Suspens, Patricia et Rémi Bonneton ont osé la solera. Un système d’élevage de vin, ici des presses directes de Marsanne et de Roussanne élevées en amphores et en tinajas, qui permet l’assemblage de plusieurs millésimes. 2017, 2018, 2019 et 2021 cohabitent ainsi harmonieusement et nous donnent un vin d’une superbe élégance et complexité. Sa minéralité, sa pureté, son volume, sa matière et sa farandole d’arômes ne pourront vous laisser indifférent.e !
32,00€
État : 6 en stock
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vignerons
engagés -
vins
sains -
livraison
flexible
Avec Suspens, Patricia et Rémi Bonneton ont osé la solera. Un système d’élevage de vin, ici des presses directes de Marsanne et de Roussanne élevées en tinajas (amphores espagnoles) et en demi-muids, qui permet l’assemblage de plusieurs millésimes. 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021 cohabitent ainsi harmonieusement et nous donnent un vin d’une superbe élégance et complexité. Sa minéralité, sa pureté, son volume, sa matière et sa farandole d’arômes ne pourront vous laisser indifférent.e !
cuisine exotique, épicée. Idée recette
jusqu'à 8 ans
10 - 12°C
30 minutes avant de servir
Cuisine du Dimanche, Donne-moi ta main
Produits ajoutés
par le vigneron dans le vin
Via la Tangente, structure de négoce de Patricia et Rémi Bonneton, le couple achète des raisins à des copains vignerons qui partagent la même philosophie (agriculture bio a minima). Le plus souvent, ils vendangent eux-mêmes leur récolte et réalisent, chez eux, des vinifications on ne peut plus naturelles. Zéro intrant et zéro sulfite ajouté.
Taux SO2 total admis (mg/l)
Taux SO2 total (mg/l)
Tandis que Rémi teste sa nouvelle chenillette dans les vignes, Patricia m’ouvre les portes de sa maison. La gentillesse transparaît sur son visage. Autour d’un café, elle m’explique comment ils en sont arrivés là.
Patricia a vécu 7 ans à Madrid. Son rêve, c’était de percer dans l’art et de vivre à la campagne, dans une hacienda bordée d’oliviers. Mais la réalité du terrain est tout autre. Elle cumule des tas de jobs différents, vendeuse pour une boutique de vêtements, chasseuse de tête pour un grand groupe américain, puis responsable marketing pour une boîte qui vendait des volailles.
Son temps libre, elle le dédiait au dessin. Elle raconte ses soirées à La Latina où elle allait « croquer » à 2 heures du mat’, une fois les touristes partis, dans de petites salles où les gitans continuaient de chanter et de danser.