Moncailleux
Quel coup de coeur pour ce Moncailleux 2015 ! Un Vin de France issu de vignes de Moulin à Vent (Michel Guignier refuse l’appellation) d’une finesse absolue. Intensité, fraîcheur, minéralité, matière envoûtante, soyeuse, pureté des arômes, les fleurs, le poivre en finale et cette jolie tension, trait d’union des vins vivants du vigneron. Un millésime plutôt solaire, avec une belle profondeur et une matière un peu plus prononcée que sur 2016.
Carafage recommandé !
26,90€
État : 17 en stock
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vignerons
engagés -
vins
sains -
livraison
flexible
Quel coup de coeur pour ce Moncailleux 2015 ! Un Vin de France issu de vignes de Moulin à Vent (Michel Guignier refuse l’appellation) d’une finesse absolue. Intensité, fraîcheur, minéralité, matière envoûtante, soyeuse, pureté des arômes, les fleurs, le poivre en finale et cette jolie tension, trait d’union des vins vivants du vigneron. Un millésime plutôt solaire, avec une belle profondeur et une matière un peu plus prononcée que sur 2016.
Carafage recommandé !
Volailles, magret de canard, plats terre-mer. Idée recette
jusqu'à 8 ans
15 - 16°C
1 heure avant de servir
Cuisine du Dimanche, Donne-moi ta main
Produits ajoutés
par le vigneron dans le vin
Michel Guignier, figure du vin naturel dans le Beaujolais, prône une vinification sans sulfites, sans additifs. Des purs jus non collés et non filtrés élaborés à partir des levures indigènes du domaine.
Taux SO2 total admis (mg/l)
Taux SO2 total (mg/l)
Nous sommes à Vauxrenard, au coeur du Beaujolais, un jour d’été. Je lis juste avant notre rencontre que Michel Guignier serait un « loup solitaire ». Un vrai paysan, au sens noble du terme, amoureux de ses terres.
Et bien je confirme. Michel Guignier est un homme assez discret, sensible, attachant. J’éprouve beaucoup de respect pour son expérience et sa philosophie de vie. Les heures passées dans les vignes, dans les champs de foins, ou auprès de ses bovins, Michel ne les compte pas.
La polyculture sonne ici comme une évidence. Être autonome, revenir au modèle de ferme qu’avait construit son grand-père en 1949. « C’est du travail, mais c’est tellement satisfaisant ».