45.9
45.9, c’est le record de température atteint le 28 juin 2019, année marquée par une sécheresse profonde. 100% Grenache blanc sur calcaires. Rond, ample, à la texture tendre, avec des notes légèrement oxydatives au nez et en bouche, la noix, l’amande, la pomme bien mûre. Les 14 grammes de sucres résiduels, contrebalancés par la fraîcheur, se ressentent à peine. A déguster maintenant ou à oublier quelques années en cave !
18,00€
État : Rupture de stock
-
vignerons
engagés -
vins
sains -
livraison
flexible
45.9, c’est le record de température atteint le 28 juin 2019, année marquée par une sécheresse profonde. 100% Grenache blanc sur calcaires. Rond, ample, à la texture tendre, avec des notes légèrement oxydatives au nez et en bouche, la noix, l’amande, la pomme bien mûre. Les 14 grammes de sucres résiduels, contrebalancés par la fraîcheur, se ressentent à peine. A déguster maintenant ou à oublier quelques années en cave !
risotto ou tagliatelles aux châtaignes et champignons, volaille farcie. Idée recette
jusqu'à 3 ans
10 - 12°C
ouvrir 30 minutes avant de servir
A la bonne franquette, Cuisine du Dimanche
Produits ajoutés
par le vigneron dans le vin
Ludovic Engelvin, talentueux vigneron installé dans le Gard, élabore des vins naturels et biodynamiques. Respect des sols et vinifications naturelles, sans intrants oenologiques. Seule une dose minimale de sulfites peut être ajoutée à la mise en bouteille, si besoin.
Taux SO2 total admis (mg/l)
Taux SO2 total (mg/l)
Ludovic Engelvin est installé à Vic-Le-Fesq, dans le Gard, à l’Ouest de Nîmes. On est le 1er octobre 2020. Ce jour là, le ciel est gris et épais. Ludovic me reçoit dans sa cave, une ancienne magnanerie en argile bleue du 12ème siècle. Ici, à l’abri de la lumière du jour, on est un peu coupés du monde. On discute, sans se rendre compte du temps qui passe.
« Je suis parti de zéro. Je ne viens pas d’une famille vigneronne ni d’une famille où l’on buvait du vin. » Alors pourquoi cette orientation ? « L’école ne m’intéressait pas. J’ai été élevé chez ma grand-mère. Elle avait un beau potager. Dès l’âge de 8 ans, je baignais là-dedans. On mangeait des kakis, des coings, des fruits pas très communs à cet âge-là. »